Vous recherchez des informations sur l’autohypnose car vous savez déjà ce que vous souhaitez changer : Arrêter de fumer, maigrir, s’endormir, gérer son sommeil, maigrir, oublier, contre le stress ou les angoisses…etc. Ces quelques exemples sont les plus fréquemment tapés sur les moteurs de recherche. C’est un bon début, car l’autohypnose nécessite d’être au clair sur le changement attendu. Commencez donc par définir votre objectif qui doit être personnel-possible à réaliser- formulé de façon positive. C’est la règle des 3 P.
La dépression est l’un des principaux motifs de consultation en hypnothérapie.
Face à cette maladie douloureuse qu’est la dépression, les solutions ne sont pas si nombreuses. Pour Elodie, 43 ans, c’est l’hypnose qui lui a permis de remonter la pente.
Témoignage : Six mois après le début de ma procédure de divorce, mon médecin généraliste s’est s’alarmé de la dégradation de mon état et m’a orienté vers un psychothérapeute spécialisé dans l’hypnose. J’étais sous antidépresseurs depuis 4 mois. Je m’absentais de plus en plus souvent du travail, j’avais des idées noires, je me dépréciais, je m’excluais de toute activité sociale. Mon mari disait qu’il valait mieux se séparer et laisser à chacun la possibilité de refaire sa vie, que de vivre en prison. Je n’ai pas protesté car au fond de moi je savais qu’il avait raison, même si cela a été un choc. Nos enfants étaient grands et autonomes. J’avais peur du vide du quotidien, je ne voyais plus le sens de ma vie, et ressentais aussi la honte du divorce. A cette époque, je me sentais lourde à déplacer, moche à regarder car toute vie m’avait quittée, sans aucune envie et inutile.
L’hypnose permet de changer directement la perception des choses et cette « représentation » nouvelle induit quant à elle les changements comportementaux tant voulus : enrayer une addiction, diminuer la douleur, surmonter un traumatisme… A vrai dire, dresser une liste exhaustive des applications thérapeutiques s’avère impossible tant le champ d’applications est vaste. Quelques grandes catégories peuvent aiguiller et peut-être donner des idées, je pense notamment aux personnes touchées par l’alopécie et qui désespèrent de l’inefficacité des traitements médicaux lourds et non dénués d’effets secondaires. Ou bien encore aux diabétiques de type 1 astreints aux injections d’insulines pour lesquels, grâce à l’hypnose, une amélioration peut être attendue. Et que penser de ces milliers de personnes atteintes d’allergies saisonnières ou non et qui sont traités par prise médicamenteuse alors qu’elles pourraient trouver leur guérison grâce à quelques séances…
Des chercheurs ont analysé l’activité du cerveau pendant l’état d’hypnose. Ces découvertes permettront d’améliorer l’efficacité de cette technique, notamment chez des personnes peu réceptives.
Vos paupières sont lourdes… Quand on pense à l’hypnose, voilà généralement la première image qui nous vient. Mais que se passe-t-il derrière vos globes oculaires, dans votre cerveau ? Ni sommeil, ni inconscience, l’hypnose est connue depuis longtemps comme un état de conscience modifiée, mais l’activité du cerveau pendant cette période restait jusqu’alors bien mystérieuse. Une étude parue dans la revue Cerebral Cortex lève le voile sur les zones du cerveau activées, désactivées et connectées entre elles lors de l’état de transe hypnotique.
Maitre Praticienne Certifiée 06 62 08 89 48
Fondatrice de Prohypnose, Directrice du CNH, Hypnothérapeute & Hypnotraumatologue spécialisée dans le traitement des traumatismes, et la gestion du poids.
