Blog

Toute l'actualité de Prohypnose

Anxiété, crise d’angoisse et attaque panique

Le trouble panique, la crise d’angoisse, l’attaque panique… Les appellations divergent et, peu importe, la dénomination employée, ce trouble ne se décrète pas, il se diagnostique. Et lorsque le verdict tombe alors la sphère médicale dispose d’un arsenal allopathique généralement efficace pour atténuer les symptômes. Des substances dont le rôle consiste essentiellement à abaisser l’intensité émotionnelle de l’angoisse. Un tel traitement aide le patient dans sa quête de mieux-être de façon parfois rapide mais cette amélioration est illusoire car corrélée à la prise médicamenteuse, et tiendra tant que durera le traitement.

Les limites des traitements médicamenteux

C’est une solution à court terme. Le phénomène d’accoutumance, la nocivité des traitements chimiques dans la durée comme certains effets indésirables sont autant de raisons d’aller chercher l’origine du mal-être. Parce que les personnes qui en sont affectées se sentent complètement démunies et embrigadées et surtout désespérées. Un éclairage pour fournir quelques explications simples et rationnelles constitue un premier pas vers la sérénité retrouvée.

      • La compréhension des phénomènes et mécanismes, eux-mêmes générateurs de symptômes alarmants. Que se passe-t-il donc dans le corps ? Rassurer le sujet car les manifestations physiques peuvent s’avérer aussi fulgurantes qu’impressionnantes donc potentiellement traumatisantes.
      • Le décryptage des processus physiques et psychologiques impliqués chez le sujet qui les ressent, la modélisation de la crise permet de mieux la cerner. L’inconnu étant toujours plus angoissant. Finalement, le sujet s’aperçoit que sa crise suit toujours le même modèle. La déclinaison des symptômes ressentis repose sur un mode opératoire qui se répète, c’est la configuration répétitive du symptôme car l’inconscient, c’est la répétition.
      • Le recensement des stratégies instaurées par le sujet pour faire face à ces crises (accompagnement, réassurance, évitement) et comment ces actions illusoires renforcent le trouble.
      • Le repérage des croyances enrôlant le trouble sous l’aspect cognitif et leur remise en cause est indispensable car elles participent activement au mécanisme de perte de contrôle.
      • Le recadrage transversal (manifestations physiologiques, cognitions et comportements) s’avère indispensable car accepter cette émotion qui nous est vitale, c’est avancer vers une solution satisfaisante pour celui qui subit les troubles anxieux, et dont la vie est profondément chamboulée par des stratégies illusoires d’évitement et/ou d’accompagnement.
      • La découverte de l’intention positive d’une réaction ou d’un comportement. Tout agissement, même indésirable est stimulé par la propension naturelle de l’inconscient à ne faire que ce qui est utile à la sauvegarde de la personne, en termes d’intégrité physique ou psychologique. L’intention positive agit avec les moyens et connaissances immédiates de la personne, cela va bien au-delà des notions de morales et d’éducation qui prévalent au moment des faits.

L’anxiété comme origine des peurs panique

Alors que l’anxiété est une émotion tout à fait naturelle, dont la mission essentielle à l’être humain est d’en assurer sa protection donc sa survie face à une menace réelle, ou un danger potentiel réel, elle s’exprime par un sentiment d’appréhension, d’inquiétude ou de peur. La question n’est donc pas de combattre l’anxiété, car elle est vitale à l’homme.

Lorsqu’elle est équilibrée, entendez par là, dans une proportion confortable, l’anxiété naturelle ne pose aucun problème, aucun trouble, elle est intégrée et assure sa mission de protection sans que l’individu n’ait besoin d’y penser comme le simple fait de regarder des deux côtés d’une rue avant de la traverser.

Sous un prisme métaphorique, l’anxiété peut être comparée à une alarme de protection antivol.

Imaginons que cette alarme soit installée sur votre véhicule. Si ce véhicule venait à être touché ou déplacé, l’alarme se déclencherait pour vous avertir d’un risque potentiel de dégradation, de vol… Vous vous rendez donc près de votre véhicule pour faire partir d’éventuels malfrats, vous inspecterez le véhicule, vous vous assurerez que plus personne ne rôde autour, puis ferez taire la sonnerie insupportable de l’alarme avant de quitter le lieu de stationnement.

Chez un sujet excessivement anxieux, ou peut supposer que le bruit strident de l’alarme n’est pas stoppé, un tel vacarme est non seulement stressant mais aussi parfaitement inutile puisque n’assurant plus sa fonction d’alerte. Comment allez-vous savoir qu’un individu mal intentionné s’approche de votre voiture puisque l’alarme sonne sans discontinuer ?

L’anxiété est donc naturelle, indispensable car protectrice, seul le déséquilibre est problème. Tout est question de proportion.

Un très faible niveau d’anxiété général chez une personne l’expose de façon disproportionnée au risque de danger. Souvent qualifiées de personnes insouciantes, plus familièrement de casse-cou, ou encore inconsciente (prise de risque démesurée chez un sujet). Par manque de raison, de logique, d’appréciation du risque, d’excès de confiance… une anxiété trop faible met réellement en danger le sujet.

A l’inverse, un niveau d’anxiété global est excessif lorsque l’anxiété génère des peurs sans fondement, sans objet, sans même connaitre l’origine consciente de la peur. Le danger est illusoire mais la peur est réelle. A la longue, au fil des expériences de la personne, cette surenchère d’anxiété mène aussi à la peur d’avoir peur… Une spirale sans fin formée par un enchevêtrement de peurs, de phobies, de TOC, de mal-être embarque l’individu dans des situations ingérables pour lui pouvant aller jusqu’à la crise de panique, très anxiogène en elle-même. Le sujet souffrant de ces troubles est en proie à une impuissance certaine menant souvent au désespoir. Plus il essaie de garder le contrôle et plus il le perd.

Crise d’angoisse : Quels sont les symptômes d’un trouble panique ?

Les personnes sujettes à ces attaques panique décrivent des phénomènes communs ou fréquemment ressentis tels que :

  • Palpitations, tachycardie, impression d’un cœur qui s’emballe
  • Transpiration, bouffée de chaleur
  • Tremblements, ramollissement des membres inférieurs ou supérieurs
  • Secousses musculaires
  • Frissons, sensation de froid ou de chaud ou bouffées de chaleur
  • Sensation de souffle coupé, impression d’étouffer
  • Douleur, lourdeur, oppression thoracique
  • Sensation de gorge serrée, d’étranglement, du mal à déglutir, gorge douloureuse
  • Perception d’engourdissement ou de picotements
  • Douleur ou gêne gastrique (sensation d’ascenseur inconfortable, parfois brulante)
  • Impression de vertige, de tête vide, cotonneuse, voire de perte de connaissance
  • Sentiment d’irréalité, voire de dépersonnalisation, de se sentir détaché de soi
  • Appréhension ou peur de mourir
  • Peur de perdre le contrôle
  • Peur de sombrer dans la folie, de ne plus être soi-même

En général, une dizaine de minutes suffisent aux manifestations pour atteindre leur paroxysme puis déclinent, jusqu’à un retour au calme.

Que se passe-t-il dans le corps lors d’une attaque panique ?

Lorsque l’aspect purement médical est écarté, les troubles paniques sont sans réelles conséquences médicales graves autres que celles pouvant résulter d’une perte de connaissance (chute) ou de moyens d’action (paralysie temporelle, ne pas pouvoir agir). Bien qu’impressionnants voire traumatisants, les symptômes d’une attaque de panique trouvent une explication physiologique à forme ascensionnelle modélisée.

  1. Lors d’un épisode de panique, une alerte interne de danger immédiat (le déclencheur) retentit.
  2. Le corps réagit face à cette alerte : le cœur s’emballe de la même façon que s’il se mettait en action dans un combat, « comme s’il allait engager une lutte ». Or, un corps en mouvement requiert davantage d’oxygène qu’un corps au repos.
  3. Aussi, pour répondre à cet effort physique anticipé (le combat) qui s’annonce, le cerveau réagit et estime qu’il va lui falloir davantage d’oxygénation.
  4. Aussi, le cerveau répond à cette anticipation d’effort physique par l’accélération du rythme cardiaque.
  5. Le cœur s’emballe, génère un afflux d’oxygène nécessaire lorsqu’il y a réellement une agitation physique, et parfois même, le corps transpire (mains moites, bouffées de chaleur).
  6. Mais, problème : le corps reste immobile.
  7. Aucun mouvement intense ne justifie cet apport massif d’oxygène. Autrement dit, le corps reçoit beaucoup plus d’oxygène qu’il ne lui en faut lorsqu’il est immobile ou peu mobile.
  8. Parallèlement, en respirant trop fort, il y a « saturation du réseau » lié à cet afflux d’oxygène, donc un fonctionnement plus lent du réseau, la saturation d’un réseau le rend plus lent.
  9. Saturé donc plus lent, le réseau de distribution interne en oxygène est moins performant :
  • Moins d’oxygène au niveau du cerveau cause des troubles d’oppression, de vertige, de gorge serrée, de douleurs thoraciques, de sentiment d’irréalité, de sensation de tête cotonneuse ou tête vide, de troubles de la vision…
  • Moins d’oxygène dans les tissus provoque des troubles circulatoires (mains moites, ou froides), tensions musculaires (spasmes, tremblements, jambes qui flagellent…) mais aussi une accélération du rythme cardiaque
  1. L’excès d’oxygène perturbe alors l’équilibre interne entre oxygène (O2) et dioxygène (CO2) car cet équilibre s’ajuste en fonction de l’activité de la personne et accentue la saturation du réseau pour reproduire les effets d’un retour au point 2

Dans l’attaque de panique, la respiration s’emballe et génère un afflux d’oxygène aussi soudain qu’inutile. L’excès d’oxygène correspond à celui d’un corps en activité sportive intense alors que le sujet est au repos. Ce déséquilibre provoque en cascade des ajustements internes, tant au niveau du cerveau (étouffement, vertige, tête vide, troubles visuels ou auditifs…) qu’au niveau des tissus (spasmes musculaires, tremblements, perte de tonicité, incidences circulatoires avec chaleur, transpiration, mains moites…) 

De plus, en respirant trop vite et trop fort, le réseau interne se sature, les échanges sont perturbés, plus lents, et c’est précisément cette saturation de réseau qui induit des manifestations physiques parfois impressionnantes allant parfois jusqu’à la perte de connaissance.

Ce que les personnes sujettes à ces attaques ressentent en général

  • Oppression respiratoire au niveau de la cage thoracique, sensation d’étouffement
  • Étourdissement, tête vide, cotonneuse, troubles de la vision, sensation d’irréalité
  • Spasmes musculaires, tremblements, crispations musculaires

Et les peurs qu’elles génèrent :

  • Palpitations : peur de faire une crise cardiaque
  • Sensations de manquer d’air : peur d’étouffer
  • Sensations de vertige : peur de s’évanouir
  • Sensation de jambes molles : peur de tomber
  • Ressenti de panique générale : peur de mourir
  • Sensation de tête vide : peur de perdre la raison, de ne plus être dans la réalité, de devenir fou/folle
  • Sensation de tremblements dans les membres : peur de perdre le contrôle de ses gestes

Quand la peur de faire une crise d’angoisse génère à elle-seule la crise d’angoisse avec la peur d’avoir peur.

Ainsi, la peur de faire une crise d’angoisse s’installe…et peut même générer à son tour une attaque de panique. Pour sortir de cette spirale, l’individu victime de ces troubles anxieux met en place différentes stratégies illusoirement aidantes en évitant les situations déclenchant le mécanisme, en se faisant accompagner dans lesdites situations problématiques, en adoptant un comportement de réassurance. Tous ces stratagèmes sont voués à l’échec. Pire, ils soutiennent la problématique. Le sujet victime de ces troubles ne sait plus comment s’extraire de cette spirale.

Se faire accompagner dans les situations problématiques ou les éviter ?

Croire que se faire accompagner dans des situations ou des lieux dans lesquels la crise de panique a déjà eu lieu berce dans l’illusion la personne qui recherche cet accompagnement. A double titre, d’une part, parce qu’il y a diffusion de fausses informations dans le cerveau en associant le lieu (ou la circonstance) au problème, et d’autre part, parce que cela légitime l’existence d’un problème et le renforce en lui donnant de l’importance.

Or, le problème dans une situation de trouble panique n’est ni le lieu ni la circonstance mais l’excès d’anxiété. Ainsi la problématique n’est ni l’ascenseur, ni le supermarché ni l’autoroute, ni aucun autre déclencheur, le seul paramètre qui cause le trouble est cette anxiété excessive.

Une crise de panique ne dépend aucunement d’un déclencheur spécifique mais correspond simplement au franchissement d’un seuil d’anxiété propre à chacun et au-delà duquel nous réagissons.

Il en est de même pour l’évitement. Éviter les lieux ou les circonstances dans lesquelles la panique se manifeste est tout aussi illusoire et aggravant car cela se propage à d’autres circonstances, d’autres lieux…

Accompagnement, évitement et réassurance sont les principales solutions mises en place par le sujet qui subit les troubles panique. Ces stratégies dissimulent toutes, pour un temps seulement, la question de l’anxiété chez le sujet atteint de ces dysfonctionnements. Ni l’une ni l’autre ne sont curatives. Bien au contraire. Ces comportements renforcent à eux-seuls la problématique de l’hypervigilance, de vouloir contrôler l’incontrôlable.

Comment sortir du cercle infernal de l’attaque de panique ?

Mieux connaitre les troubles qui se manifestent, les symptômes qu’ils génèrent, c’est déjà amoindrir l’activité anxiogène. Et même si cela ne suffit pas, c’est déjà une étape.

Le second travail consiste à tenter de débusquer les raisons irrationnelles, les croyances limitantes qui sont sous-jacentes à la problématique. En effet, certaines expériences chez le sujet et/ou croyances notamment dans les injonctions auxquelles le sujet se soumet abreuvent la montée anxiogène.

Ainsi, les croyances portées par l’individu et qui n’engagent que lui telles que les : « Je dois être parfait », « Je n’ai pas le droit à l’erreur », « Je ne peux pas décevoir », « Je dois être fort », « Il faut que je réussisse à tout prix » … sont autant d’exigences à porter. C’est lourd, parfois trop lourd même, c’est anxiogène. Parfois même, cela ne relève pas de notre responsabilité mais on les porte. Ce sont des injonctions que l’on s’afflige à soi-même. Et bien qu’elles trouvent une origine dans notre passé, nous pouvons décider de ne plus les porter. Sommes-nous obligés de penser que nous devons être parfaits ? Devons-nous vraiment croire que nous devons réussir à tout prix ?

Nous pouvons croire en d’autres injonctions plus confortables. Car négliger l’impact d’une croyance dans nos comportements est une énorme erreur.

Une croyance, c’est comme un filtre qui travestit la réalité parce qu’elle oriente fondamentalement l’appréhension de la réalité. C’est par ce prisme que le sujet enregistre l’information réelle. Les croyances qu’elles soient bloquantes ou limitantes ont donc intérêt à être travaillées pour être moins opérationnelles (invalidantes) parce qu’elles créent ou intensifient le trouble panique. Cette remise en cause est incontournable. Ainsi, il est essentiel de déceler quelles sont celles impliquées chez le sujet car les formes sont diverses et variées :

  • La lecture de pensées : l’individu pense savoir ce que pensent les autres à son sujet. Ex : « ils doivent me trouver bizarre »
  • Les affirmations sans preuve « Je ne vais pas y arriver », « C’est trop dur », « Tout le monde y arrive sauf moi. »
  • Les généralisations « Le danger est partout »

Finalement, une croyance n’engage que celui qui y croit…

Quant aux origines des croyances, c’est dans l’histoire du sujet qu’elles se trouvent. Invariablement, devant toute névrose adulte, il convient de chercher la névrose infantile dont elle est la répétition.

Quel est le problème s’il n’y a plus le problème ?

Derrière ces agissements incontrôlés s’affiche toujours une intention positive, même si ce comportement nous déplait. Ainsi un fumeur va prendre une cigarette pour se calmer, se détendre, se faire plaisir, se réconforter (au choix en fonction de la croyance du fumeur) … Jamais pour s’empoisonner !

Vous l’aurez compris, il s’avère essentiel pour le bien-être de la personne sujette à ces troubles anxieux de transférer l’intention positive du comportement vers un agissement plus confortable. Y parvenir, c’est répondre à l’interrogation : il est où le problème s’il n’y a plus le problème ?

L’hypnose dans tout ça ? Comment gérer les crises par l’hypnose ?

Une des premières grandes étapes consiste à travailler sur la gestion d’une attaque de panique. Effectivement, la peur de faire une crise, de perdre le contrôle génère à elle-seule une crise de panique.

La peur de la crise de panique génère elle-même une crise de panique.

Imaginez que la personne arrive à contrôler de son propre chef le phénomène, qu’elle arrive même à agir directement sur lui pour l’atténuer voire l’enrayer alors cet individu reprend le contrôle. Or c’est précisément la perte de contrôle qui suscite autant d’inquiétude. Dès lors que le sujet reprend les rênes de ses comportements, il redevient par la même occasion acteur de son changement.
Le second travail est plus en profondeur. Comment empêcher complètement que cela ne se produise ? Il s’agira, selon les personnes, de retrouver la raison cachée c’est-à-dire la fameuse intention positive qui sert directement la protection de la personne pour la transposer sur un autre comportement désirable cette-fois ou invisible.

Traiter l’angoisse par l’hypnose, pourquoi cette thérapie ?

Pour répondre à cette interrogation, il convient de connaitre le fonctionnement global du cerveau, notamment de savoir ce qui relève du conscient et de l’inconscient et surtout l’impact de ces capacités cérébrales impliqués dans tout comportement.

CAPACITÉS CEREBRALES CONSCIENTES VS INCONSCIENTES

CONSCIENT INCONSCIENT
Mémoire court terme Mémoire long terme
Vision séquentielle Vision globale
Vision micro Vision macro
Analyse Intuition
Rationnel Irrationnel
La description L’imaginaire
Perception Émotion
Raisonnement Créativité
La volonté Les automatismes
La motivation L’instinct de survie
La parole Le non verbal
Le déductif L’analogique
Le numérique L’image
La logique L’illogique
L’objectif Le subjectif

IMPACT SUR UN COMPORTEMENT 10 à 20% / IMPACT SUR UN COMPORTEMENT 80 à 90%

Cette répartition vous permet-elle peut-être enfin de comprendre pourquoi il ne suffit pas de vouloir quelque chose pour y arriver.
De manière globale, lorsque l’on veut quelque chose (maigrir, arrêter de fumer, gagner en confiance…) et que l’on n’y arrive pas, c’est que l’inconscient n’est pas en accord avec le conscient. Ainsi, une personne peut être amenée à manger pour se réconforter, se calmer, s’apaiser … Comment cette même personne va-t-elle trouver du réconfort, du calme, de l’apaisement si elle mange moins ?
L’inconscient est le vrai décisionnaire dans la mise en place d’une action, d’un agissement, ou d’un comportement… Mais l’inconscient, c’est aussi et surtout la répétition.
Par conséquent adopter un NOUVEAU comportement nécessite de DÉLOGER le schéma répétitif inconscient. L’état hypnotique permet cette intervention.

Prendre rendez-vous

ou demander un complément d'information

Commenter

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.